lg

Couverture médiatique

La presse parle d’Aurélie Ligerot Soprano

Nicolas Darbon, Première Loge - Juillet 2022

Aurélie Ligerot, en Musetta déploie progressivement ses ressources vocales. La soprano lyrique possède un grain de voix particulier, servi par une superbe technique, une puissance et une diction captivantes.

Laurent Bury, Forum Opéra - Février 2018

Le grand rôle féminin est néanmoins celui de Margarita, où Aurélie Ligerot trouve l’occasion de déployer une belle virtuosité et des aigus d’une assurance enviable, en particulier dans sa « Chanson italienne », tandis que le rôle de Mojana sollicitera davantage ses ressources expressives.

Jacqueline Tuilleux, Concertclassic.com - Mars 2016

Enfin, la petite merveille, la pépite qu’a représenté pour tous la découverte d’Aurélie Ligerot, elle aussi fraîchement arrivée dans l’arène lyrique : un phrasé souple, un timbre lumineux, des aigus limpides, un sens dramatique et une gestuelle parfaite, cette gracieuse petite brunette à la ville, ici muée en blonde héroïne à multiples boucles et lourde tournure, a paru capable de dominer bien des situations avec une fraîcheur inhabituelle, et sans la moindre mièvrerie.

Jacques Bonnaure, Opera Magazine – Mars 2016

Aurélie Ligerot, avec un timbre superbe et une très belle ligne vocale, donne du personnage une image subtile, enfantine au début, ardente et tragique à la fin.

Fabrice Malkani, Forumopera – Mars 2016

La Rozen d’Aurélie Ligerot est toute grâce et sensibilité, servie par un soprano clair et une bonne diction.

B. D., Le Progrès – Mars 2016

C’est surtout la soprano Aurélie Ligerot, dans le rôle de Rozen, la sœur amoureuse, qui a magnifié la représentation. Toujours très juste, douce et émouvante, elle a livré une excellente interprétation.

Jacques Croisier, Toute la culture – Mars 2016

De même qu’Aurélie Ligerot donne à voir et à entendre une très belle et tout à fait crédible Rozenn, lumineuse et emprunte de bonté.

Wilhem Gushlbauer, Der Neue Merker – Avril 2012

Aurélie Ligerot prêtait sa belle voix au personnage d’Adina. (…) Elle a brossé un portrait très cohérent, de la boudeuse jeune fille à la femme amoureuse, (…) et n’a eu aucune difficulté à maîtriser les coloratures. 

Aurélie Ligerot a une très belle voix, lumineuse, avec technique solide qui m’a fait penser à Jurinac.